The new CVS Pharmacy that’s replacing a couple of former veterinary clinics on W. Alabama — as well as the Shepherd Corner shopping center that until late last year housed Roeder’s Pub, Ruchi’s Taqueria, and Oaks Cleaners — is almost ready to show off the 40 shiny new parking spaces that will front the S. Shepherd Dr. corner a block south from the Trader Joe’s-ified Alabama Theater. Don’t worry that parking will be scarce, though — more spaces will be available along the side and back of the new building, which faces S. Shepherd Dr. behind 2 full parking lanes. If you’re looking for a development that might be a little more street-fronting, you’ll have to wait: Construction hasn’t even begun yet on the fast-food drive-thru planned for the adjacent former site of jewelry store Fly High Little Bunny; it’ll go in where the big pile of dirt is, at the left of this photo:aux du et prévoyez de l' comptant. Try 'Le Craquant', and bring . SALLEPRIVÉE.CA est votre destination pour découvrir et réserver les plus belles salles privées que la région métropolitaine a à offrir.

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Nous tenons à vous remercier pour votre excellent service. Nous avons particulièrement apprécié le suivi que vous avez avec nous fait tout au long de la période entre la recherche de l’emplacement et le suivi de notre appréciation de la soirée.”Merci énormément pour cette réservation. Depuis 2 jours, je parle à tous mes collègues de votre entreprise.”Merci pour votre excellent service”J’ai commencé à communiquer avec Guillaume par courriel mi-juin afin de trouver une salle privée pour un événement corporatif prévu en Octobre 2015. J’ai eu des réponses rapides dans l’heure suivant mes demandes. Le 30 juin, j’ai rencontré Guillaume au centre-ville afin de visiter trois endroits à Montréal. Il était très organisé, il avait pris le temps de bien comprendre mes besoins. Il a une très belle personnalité, un bon sens d’humour et c’était très facile et surtout pas compliqué. Et voilà, j’ai complètement eu un coup de cœur pour une salle située dans une galerie d’art à Montréal.

Quand il est venu le temps de signer le contrat ou de négocier, ce fût encore une fois facile et pas compliqué. Je recommanderais Guillaume comme personne ‘’clé’’ pour vous trouver un endroit, qui sort de l’ordinaire. Merci milles fois Guillaume et au plaisir de travailler avec toi de nouveau.”Pêche au thon rouge dans le sud de l’Espagne en 2006. Quand j’étais enfant, manger du thon signifiait manger du thon en conserve. Chez moi, on en faisait surtout des salades et des sandwichs. D’autres familles le préparaient aussi en “casseroles” gratinées à l’américaine, avec des pâtes, des petits pois et de la chapelure. Certains le faisaient en “tuna melt”, ce qu’on appellerait aujourd’hui panini. On était loin des steaks de thon et des sashimis. Je vous parle des années 70… Notre amour pour le thon en boîte a été fortement ébranlé ensuite dans les années 80, quand on a appris que les thons utilisés par les grandes conserveries étaient pour la plupart pêchés au filet, outils ne faisant aucune discrimination, qui attrapaient aussi toutes sortes de dauphins.

De vastes campagnes de boycott ont alors été lancées et c’est à ce moment-là qu’a commencé notre grande confusion collective sur ce qui est écologiquement correct ou pas, le temps venu de manger du poisson. Autrefois poisson le plus populaire aux États-Unis, le thon en conserve s’est tranquillement un peu écarté de nos menus quotidiens, prenant plutôt sa place dans les restaurant de sushi. Mais on en mange quand même encore. Et sur le site du New York Times, cette semaine, le grand chroniqueur agro-alimentaire Mark Bittman se demande si le temps n’est pas revenu de recommencer à boycotter le thon en conserve. On sait depuis un moment que le thon rouge utilisé pour le meilleur sushi est sévèrement menacé, que plusieurs autres variétés de thon le sont aussi, mais on s’inquiète moins des variétés plus communes, moins recherchées par les grands chefs, comme le albacore, qui aboutissent dans les conserves. Or, explique Bittman, ces poissons sont pêchés avec une technique appelée en anglais “fish aggregating device” ou FAD (voici une vidéo de Greenpeace sur la question), un système qui produit beaucoup de prises accidentelles.

En gros, on laisse dans l’océan des objets plus ou moins complexes, qui vont être utilisés par les petits poissons comme des abris. De plus gros poissons sont ensuite attirés sachant qu’ils y trouveront de quoi manger, attirant à leur tour de plus gros poissons encore. Et se crée ainsi un écosystème artificiel avec une masse de poissons qui est ensuite “cueillie” au filet par les bateaux de pêche commerciale. Ainsi, on ne sillonne par les océans avec des filets qui ramassent tout, à l’ancienne, mais on crée le même genre de dommage localement, par poche. Si on ne peut plus manger de thon en conserve ni de thon à sushi, peut-on encore manger du thon, point, demandez-vous ? La question est très complexe. On  parle en effet beaucoup de la nécessité d’éviter le thon rouge, gravement menacé, mais en réalité ce poisson est très peu consommé ici. Souvent, le thon qu’on dit rouge n’en est pas. Si on vous en offre, ditez-vous que soit c’en est du vrai, donc une espèce très menacée, soit qu’on vous induit en erreur.

Peut-être que le thon qu’on veut faire passer pour du rouge n’est pas menacé, mais veut-on manger un produit vendu sous de fausses prétentions ? Pour les autres thons, il faut aller au cas par cas, en cherchant à savoir la provenance et le type de pêche. (On peut avoir des détails sur chaque type de poisson sur des sites comme celui-ci) Pour le thon en conserve, ce que dit Greenpeace est compliqué. Il faut chercher du thon qui n’est pas pris avec des FAD ni à la palangre — de longues lignes fixes qui font trop de prises accidentelles selon l’organisme, mais ceci n’est pas une règle universelle car la palangre est considérée écologiquement correcte, par d’autres, à petite échelle. Il faut aussi chercher du thon qui est pêché uniquement dans les zones territoriales, donc soumises à des réglements, et non pas les zones internationales où il n’y a pas de quota et où les pêcheurs industriels s’en donnent à coeur joie. Mais vous imaginez-vous chez Métro en train d’essayer de trouver du thon qui répond à toutes ces interrogations ?